Garrison, B.A. Atlas des oiseaux nicheurs de l'Ontario, 2001-2005, Études d'Oiseaux Canada, Environnement Canada, Ontario Field Ornithologists, ministère des Richesses naturelles de l’Ontario et Ontario Nature, Toronto, xxii + 706 p. Campbell, R.W., N.K. Baptist. Les données à long terme du Relevé des oiseaux nicheurs (BBS) ont montré un taux de déclin annuel significatif de 8,84 % entre 1970 et 2011. The North American Breeding Bird Survey, Results and Analysis 1966 – 2011, version 12.13.2011 USGS Patuxent Wildlife Research Center, Laurel (Maryland). Directeur en gestion de la faune, Conseil de gestion des ressources fauniques de la région marine du Nunavik, Inukjuak (Québec). Hirondelle de rivage (oisillons) Diptères (mouches) = 19.9% fréquence, 33.6% poids Hyménoptères (Fourmis, guêpes et abeilles) = 17.4% fréquence et 6.8% poids Hirondelle bicolore Taille de la majorité des insectes consommés = 1-10mm Les données ainsi obtenues sont incluses dans le présent rapport, car elles fournissent les seules données de recensement disponibles pour l’Hirondelle de rivage au Canada et elles mettent en évidence les lacunes dans la connaissance que nous avons de l’abondance de cette espèce (par rapport au BBS et aux atlas). 2011. The Birdlife of Florida, University Press of Florida, Gainesville (Floride), 904 p. Stoner, D. 1937. L’Hirondelle de rivage est un petit oiseau chanteur insectivore dont le dessus est brun et le dessous, blanc, et qui se caractérise par une bande foncée sur la poitrine. Technicienne de la faune, Service de la biodiversité et des maladies de la faune, ministère des Ressources naturelles et de la Faune, Direction de l'expertise sur la faune et ses habitats, Ste-Foy (Québec). Will. L’estimation des tendances est négative dans toutes les provinces (tableau 4), bien que les tendances au cours des dix dernières années ne soient significatives que pour le Nouveau-Brunswick et l’Ontario (tableau 4). Turner. Ziolkowski, Jr., et W.A. La répartition de l’Hirondelle de rivage dans les régions nordiques de la plupart des provinces et territoires peut être plus étendue que la description qu’on en donne ici, parce que les activités de relevé dans ces vastes régions sont limitées. pers.). Rustay, J.S. L’Hirondelle de rivage construit ses cavités de nidification dans un substrat sablo-argileux (sable, limon, humus), sur des falaises dépourvues de végétation. Sutherland, Donald. Anderson. Plus petite que sa cousine rustique, on la distingue facilement par sa courte queue à peine échancrée et sa bande pectorale d'un brun cendré qui contraste avec sa gorge et son dessous blancs. 2011b. (consulté le 18 août 2011; en anglais seulement). Pyle, P. 1997. On considère que l’Hirondelle de rivage fait partie des groupes d’hirondelles anciens ou « primitifs » du point de vue évolutionnaire, du fait qu’elle niche dans des terriers qu’elle creuse (Sheldon et Winkler, 1993). Van Tighem, Graham. Taille moyenne des colonies et nombre total de colonies d’Hirondelles de rivage rapportées au Fichier de nidification de l’Ontario au cours des huit dernières décennies (Environnement Canada et Musée royal de l’Ontario, données inédites). Sa valeur serait cependant beaucoup plus grande que le seuil minimum du COSEPAC, qui est de 2 000 km2 (A. Filion, comm. La source d’information la plus complète sur la biologie, l’écologie et le cycle vital général de l’Hirondelle de rivage est le compte rendu sur l’espèce figurant dans Birds of North America (Garrison, 1999), quoique la plus grande partie de l’information qu’elle contient ne provient pas du Canada. La majorité de ces terriers ont été signalés entre Ajax et Port Hope, en Ontario. Vous ne recevrez pas de réponse. L’industrie n’a été réglementée par la province qu’à partir de 1971 (Pits and Quarries Control Act), lorsque certaines exigences en matière de permis d’extraction et de restauration minière sont entrées en vigueur. les falaises du lac Érié), les colonies forment presque un continuum et sont difficiles à départager (EOC, données inédites). 1997; EOC, 2011b). L’Hirondelle de rivage se reproduit dans une grande variété de sites naturels et artificiels comportant des talus verticaux, notamment les berges des cours d’eau, les falaises le long des lacs et des océans, les carrières d’agrégats, les tranchées de route et les amoncellements de terre. pers.) Les Hirondelles de rivage se regroupent régulièrement avec d’autres espèces d’hirondelles (Garrison, 1999). En Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba, on trouve le plus souvent l’Hirondelle de rivage dans les écorégions de prairie, de forêt-parc à trembles et de plaine. Finalement, bien que cela ne concerne pas spécifiquement le BBS, les Hirondelles de rivage sont difficiles à surveiller en général, parce que leurs colonies peuvent se déplacer d’une année à l’autre. Lantz T.C., S.V. Dunn, P.O., D.W. Winkler, L.A. Whittingham, S.J. On en sait bien peu sur les activités prémigratoires et migratoires en Amérique du Nord par rapport à ce que l’on en sait en Europe (Garrison, 1999). L’hirondelle de rivage mesure environ 12 cm et a une envergure d’environ 25 cm, c’est la plus petite de nos hirondelles. (consulté le 18 août 2011; en anglais seulement). Estimation des populations et statistiques sommaires concernant l’Hirondelle de rivage, d’après l’abondance moyenne établie par le Relevé des oiseaux nicheurs (, Tableau 4. Provincial Wildlife Status Biologist, Fish and Wildlife Division, Department of Sustainable Resource Development de l’ Alberta, Edmonton (Alberta). Au Québec, des exigences semblables sont entrées en vigueur avec la réglementation sur les carrières et sablières en vertu de la Loi sur la qualité de l’environnement (1981). Les taux de survie fluctuent d’une année à l’autre et peuvent surtout subir l’influence des précipitations dans les aires d’hivernage (Szep, 1995; Cowley et Siriwardena, 2005) ou de reproduction (Cowley et Siriwardena, 2005). Les colonies sont parfois persécutées par des enfants curieux, qui creusent et insèrent des objets (p. ex. Tableau 1. Pourcentage de mentions de colonies d’Hirondelles de rivage situées dans des tranchées de route (par rapport aux autres milieux) d’après le Fichier de nidification de l’Ontario au cours des huit dernières décennies (Environnement Canada et Musée royal de l’Ontario, données inédites). Y a-t-il un déclin continu observé de [la superficie, l’étendue ou la qualité] de l’habitat? The Nature Conservancy – Migratory Bird Program, Conservation International – Center for Applied Biodiversity Science, Also available in English under the title, Manager, Biodiversity, Wildlife Division, Department of Natural Resources, Wildlife Division, Department of Environment and Natural Resources, Secretariat, Wildlife Management Advisory Council – North Slope, Whitehorse (Yukon), Provincial Bird Specialist, Wildlife Management Branch, Ministry of Environment, Provincial Wildlife Status Biologist, Fish and Wildlife Division, Department of Sustainable Resource Development, Conservation Biologist, Protected Areas and Biodiversity Conservation, Forest, Fish and Wildlife Division, Environment, Energy and Forestry, Charlottetown, Manager, Biodiversity, Habitat and Endangered Species Section, rovincial Species at Risk Biologist, Wildlife Division, Department of Natural Resources, Species at Risk Specialist, Ecosystem Branch, Conservation Planning Section, Ministry of Environment, Monitoring Ecologist, PEI National Park of Canada, Charlottetown, Territorial Forest Ecologist, Department of Environment and Natural, enior Manager, Endangered Species and Biodiversity, Wildlife Division, Department of Environment and Conservation, Zoologiste, Biodiversity Conservation Section, Fish and Wildlife Branch, Ministry of Environment, Habitat Ecologist, Fish and Wildlife Branch, Ministry of Environment, Provincial Species at Risk Specialist, Section Head, Non-game Wildlife, Species at Risk and Wildlife Division, Department of Sustainable Resource, Vermont Breeding Bird Atlas Coordinator, Vermont Center for Ecostudies, Norwich (Vermont), Ecosystem Management Ecologist, Endangered Species and Biodiversity, Wildlife Division, Department of Environment and Conservation, Executive Director, Yukon Fish and Wildlife Management Board, Whitehorse (Yukon), Parks Zoologist, Parks Ecology Program, Alberta Conservation Information Management System, Alberta Tourism Parks and Recreation, Edmonton (Alberta). Figure 6. En Californie, l’augmentation de la distance entre les colonies et l’habitat de prairie le plus proche a été positivement reliée aux probabilités de disparition des colonies (Moffatt et al. Au Yukon, les principaux cours d’eau du sud (p. ex. Ministry of Environment de la Saskatchewan. Badger digs for Bank Swallows, Condor 26:191. Les données du Relevé des oiseaux nicheurs de 2001 à 2011 indiquent une perte potentielle de 31% de la population pendant cette période de 10 ans. Avian population consequences of climate change are most severe for long-distance migrants in seasonal habitats, Proceedings of the Royal Society B 277:1259-1266. (consulté le 26 juillet 2011). L’Hirondelle de rivage est socialement monogame, mais les individus des deux sexes peuvent s’accoupler avec d’autres partenaires (Garrison, 1999). Justification de la désignation Cette espèce largement répandue a subi un grave déclin à long terme, sa population canadienne ayant chuté de 98 % au cours des 40 dernières années. Rapport de situation du COSEPAC sur L’Hirondelle de rivage Riparia riparia au Canada, Bank Swallow (Amériques) Sand Martin (Eurasie, Afrique) Collared Sand Martin (Asie du Sud), Nom scientifique : Riparia riparia (Linné, 1758). 2010. La plupart des États voisins du Canada, qui pourraient représenter une source d’immigration, ont toutefois montré des déclins à court terme (2001 à 2011). Botaniste/directeur adjoint, Centre de données sur la conservation du Canada atlantique, ministère des Ressources naturelles, Sackville (Nouveau-Brunswick). Bryant, D.M., et A.K. Autrefois, elle trouvait des sites appropriés sur les fissures fraîches des berges de rivières. Analysis of the North American breeding bird survey using hierarchical models, Auk 128:87-98. L’UICN lui a attribué le statut « préoccupation mineure » dans sa liste rouge (2011) des espèces menacées, et NatureServe lui a attribué le statut « non en péril » au Canada et aux États-Unis, bien que le Conseil canadien de conservation des espèces en péril lui ait attribué le statut « possiblement en péril »(may be at risk) en Nouvelle-Écosse et « vulnérable » (sensitive) au Nouveau-Brunswick et en Ontario. En 2010, les relevés de Beacon Environmental Ltd. le long de la rive nord du lac Ontario (de la rivière Rouge, à la bordure est de Toronto, au parc provincial Presqu’île) ont rapporté un total de 20 500 terriers d’Hirondelles de rivage. Sa préférence va aux parois d’au moins 2,5 m de hauteur, mais Yundt, S.E., et B.P. Stipec, Katrina. Y a-t-il suffisamment d’habitat disponible au Canada pour les individus immigrants? Parmi la famille des hirondelles (88 espèces), l’ hirondelle de rivage est la seule hirondelle à dos brun. Graphique montrant le pourcentage de colonies d’Hirondelles de rivage situées dans des tranchées de route d’après le Fichier de nidification de l’Ontario au cours des huit dernières décennies. Superficie estimée de la zone d'occurrence – aire de reproduction. 1971. Elle se distingue des autres hirondelles en vol par ses battements d’ailes rapides et irréguliers, ainsi que par son cri, un gazouillis bourdonnant presque constant. Biologiste, Species at Risk Program, Direction de la faune et des poissons, ministère des Ressources naturelles, Fredericton (Nouveau-Brunswick). Destiné à l’Hirondelle de rivage, il doit être installé à proximité d’une colonie existante. 1980. Cramp, S., D.J. 2007). Provincial Species at Risk Biologist, Wildlife Division, Department of Natural Resources de la Nouvelle-Écosse, Kentville (Nouvelle-Écosse). À ce moment, les adultes et les jeunes commencent à utiliser des sites de repos nocturne. Taux de changement annuel de l'abondance de l'Hirondelle de rivage au Canada entre 1970 et 2011, selon un modèle bayésien hiérarchique des données du Relevé des oiseaux nicheurs (, Figure 5. On a observé plusieurs autres espèces aviaires nichant dans des colonies d’Hirondelles de rivage, souvent en agrandissant des terriers ou simplement en occupant des terriers existants. 2007; Jobin et al., 1996, 2009). On ne sait pas si la population d’Hirondelles de rivage des États-Unis se rétablira et compensera les pertes d’effectifs au Canada, mais une immigration de source externe sera vraisemblablement limitée, à cause de la proportion relativement élevée de jeunes qui ne se dispersent pas au-delà de leur aire natale, ceux qui le font ne parcourant généralement pas non plus de grandes distances (voir la section Déplacements et dispersion). Les données existantes sur les exigences de l’Hirondelle de rivage en matière d’habitat durant l’hiver sont relativement rares. Par conséquent, le présent rapport traite de la seule unité désignable, R. r. riparia. De plus, le mauvais temps est considéré comme la principale cause de mortalité chez les oisillons (Turner et Rose, 1989). Howes, Lesley-Anne. La proportion des listes de contrôle incluant l’Hirondelle de rivage a diminué à un taux annuel de 4,4 pour cent sur la période considérée (pourcentage tiré du texte du rapport). Elle est la seule espèce d'hirondelle à avoir un dos brun. Les mâles commencent à creuser des terriers avant de trouver leur partenaire, et les femelles volent devant les entrées des terriers, évaluant probablement les partenaires potentiels (Kuhnen, 1985). L’Hirondelle de rivage se reproduit volontiers dans une grande variété de milieux à faible altitude (< 900 m), naturels et anthropiques (appelés ici « artificiels »), notamment dans les falaises lacustres et côtières, sur les berges des cours d’eau, dans les sablières et les gravières, dans les ouvertures de chemin, et dans les amas de sable, de terre, de sciure de bois, de cendres de charbon et d’autres matériaux (Peck et James, 1987; Garrison, 1999). Elle est même désignée comme espèce menacée, ayant perdu 98% de ses effectifs durant la même période. La possibilité d’une immigration depuis des populations externes existe-t-elle? Geomorphic shoreline classification of Prince Edward Island, Atlantic Climate Adaptation Solutions Association Report, 70 p. Dunn, E.H., J. Larivée et A. Cyr. Szabó, Z.D., et T.Szép. Dispersal and survival in the Bank Swallow (Riparia riparia) in southeastern Wisconsin, Milwaukee Public Museum Contributions in Biology and Geology, no 10, 14 p. McGowan, K.J., et K. Corwin. Elle est le plus commune et largement répartie dans les écoprovinces du sud intérieur des montagnes du sud de l’intérieur et des plaines boréales, où l’on trouve des dépôts lacustres postglaciaires (Campbell et al., 1997; EOC 2011b). State University of New York, Binghamton, 312 p. Freer, V.M. Potter, L.B. (consulté le 18 août 2011; en anglais seulement). Pourcentage estimé de déclin continu du nombre total d’individus matures sur cinq ans (selon une tendance sur dix ans). pers.). Cotes de conservation pour l’Hirondelle de rivage au Canada et dans les provinces et territoires canadiens, selon le, Atlas des oiseaux nicheurs des Maritimes : cartes, Atlas des oiseaux nicheurs de la Colombie-Britannique : cartes, Atlas des oiseaux nicheurs du Manitoba : cartes, Partners in Flight North American Landbird Conservation Plan, Meadowcliffe Drive Erosion Control Project (, Durée d’une génération (âge moyen des parents dans la population). Distribution of coastal protection structures, Northumberland Strait, New Brunswick, Guide to the Partners in Flight Population Estimates Database, Version : North American Landbird Conservation Plan. Dans l’hémisphère oriental, la survie hivernale apparente des adultes est réduite au cours des années de sécheresse et négativement corrélée aux taux de précipitations de la période de reproduction précédente (Szep, 1995; Cowley et Siriwardena, 2005). Graphique montrant la tendance mobile sur 10 ans de la population canadienne d’Hirondelles de rivage de la période 1970 1980 à la période 2001 2011, d’après les données du Relevé des oiseaux nicheurs (BBS). Nidification de l’Hirondelle de rivage au Canada selon des données récentes (2000 à 2010) (Cadman. GNWT (Government of the Northwest Territories). Connecticut birds, University Press of New England, Hanover (New Hampshire), 328 p. Myles Falconer et Debra Badzinski travaillent à Études d'Oiseaux Canada (EOC), organisation non gouvernementale sans but lucratif de recherche sur les oiseaux dont le siège se trouve à Port Rowan (Ontario). Gravel, Mike. vi + 148 p. Ghent, A.W. Quinlan, Richard. Fournier, François. Des données inédites d’Environnement Canada indiquent qu’environ 50 % des terriers dans les carrières du comté de Wellington et aux alentours ont été perdus à cause de divers facteurs, incluant l’excavation, l’érosion, la prédation et les dommages indirects. Adaptive aspects of coloniality in the Bank Swallow (abstract), American Zoologist 11:47. 2001. pers.). Le rapport des sexes est vraisemblablement de 1:1 (Cowley et Siriwardena, 2005; Heneberg, 2011). (consulté le 18 août 2011; en anglais seulement). En vol, l’Hirondelle de rivage se distingue des autres hirondelles par sa petite taille, sa bande distinctive sur la poitrine et ses caractéristiques de vol, au cours duquel les ailes de l’oiseau sont maintenues à un angle plus aigu et battent plus rapidement (Garrison, 1999). Les œufs sont couvés pendant environ 14 jours (de 12 à 16 jours), principalement par la femelle. Altus Group. Crone, K.D. Talus artificiel pour Martin-pêcheur. EOC (Études d’Oiseaux Canada). Gestionnaire, Programme des espèces en péril, Direction de la pêche sportive et de la chasse, ministère des Ressources naturelles, Fredericton (Nouveau-Brunswick). 2007. Des oiseaux bagués en Ontario et en Saskatchewan ont été récupérés dans le nord du Pérou et de la Bolivie, respectivement (Brewer et al. 2010. pers.). Clark et F.D. Répartition de l’Hirondelle de rivage dans les provinces Maritimes de 2006 à 2010. Rosenberg, A.O. Si des intervalles de crédibilité à 50 % sont utilisés, ce qui omet les queues relativement longues de la courbe de distribution de la population, la fourchette plausible pour la perte de population sur 10 ans est de − 39 % à − 21 % (Environnement Canada, données inédites, 2012). (consulté le 19 mars 2012; en anglais seulement). Le sommaire des nids repérés au sein des colonies d’Hirondelles de rivage en Ontario montre un déclin de la proportion de colonies signalées dans les tranchées de route (figure 3). Carriere, Suzanne. Chutter, Myke. Elle est protégée en vertu de divers pièces législatives provinciales protégeant la plupart des autres espèces sauvages indigènes : au Québec, la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune, L.R.Q. North American bird migrants in Paraguay, Condor 92:947-960. Figure 6. Smith, Adam. Ces données laissent croire que même si une immigration de source externe est possible dans certaines parties de l’aire de répartition canadienne, elle sera probablement limitée dans l’ensemble du pays, étant donné les déclins observés dans de nombreux États limitrophes. Répartition de l’Hirondelle de rivage dans les provinces Maritimes de 2006 à 2010. Les estimations des effectifs figurant dans le présent rapport proviennent d’une nouvelle analyse mise à jour réalisée par Blancher (données inédites), et seront éventuellement disponibles dans la base de données Partners in Flight Landbird Population Estimates (voir PIF LPED, 2007). Rustay, J.M. Taylor. Il y a au moins une colonie au nord de la limite arctique des arbres, le long de la rivière Babbage (Sinclair et al. Les activités touristiques dérangent les oiseaux et em- Declines of aerial insectivores in North America follow a geographic gradient, Breeding birds of Ontario : nidiology and distribution, Pennsylvania Breeding Bird Atlas (second), Age structure, sex ratios and survival rates in a south Swedish Sand Martin, The breeding cycle in the Bank Swallow, Wilson Bulletin, Longevity and colony loyalty in Bank Swallows, Bird-Banding, Red flag for green spray : adverse trophic effects of Bti on breeding birds, Journal of Applied Ecology, Identification guide to North American birds : Part I. with notes on the Palearctic species, Smithsonian Institute Press, Washington D.C. pers.). La gorge et le dessous de l'oiseau sont blancs. 1996. Y a-t-il un déclin continu observé de la zone d’occurrence? Jung, Thomas. Manager, Biodiversity, Wildlife Division, Department of Natural Resources de la Nouvelle-Écosse, Kentville (Nouvelle-Écosse). L’Hirondelle de rivage est particulièrement sujette aux collisions avec les véhicules (Mead, 1979), en partie à cause de son comportement social unique qui fait que les individus sont attirés par les cadavres de même espèce, et parfois même tentent de s’accoupler avec ces cadavres (Dale, 2001; M. Falconer, obs. À ce rythme, la population aurait diminué d'environ 98 % au cours des 41 dernières années. Survival rates of Hungarian Sand Martins and their relationship with Sahel rainfall, Journal of Applied Statistics 22:891-904. Executive Director, Yukon Fish and Wildlife Management Board, Whitehorse (Yukon). Les oisillons se rendent à l’entrée du terrier lorsqu’ils atteignent 15 à 17 jours, et finalement ils prennent leur envol lorsqu’ils ont 18 à 22 jours (Garrison, 1999). Toutes les autres stations de surveillance des migrations montrent des tendances non significatives pour l’Hirondelle de rivage (T. Crewe, EOC, données inédites). 2006. Les relevés de 27 carrières d’agrégats dans le comté de Wellington et autour de ce comté font état d’un total de 5 individus (5 467 terriers, taux d’occupation de 48,8 %). Y a-t-il des fluctuations extrêmes de l’indice de zone d'occupation? région des Grands Lacs d’aval, plaines du Saint­Laurent et intérieur sud de la Colombie-Britannique). L’Hirondelle de rivage n’a en général qu’une seule nichée par année dans la plus grande partie de son aire de répartition nord-américaine, la plupart des jeunes prenant leur envol avant la mi-juillet (Garrison, 1999). 2006), l’habitat de reproduction dans les régions côtières peut être menacé par l’érosion côtière accélérée et les niveaux d’eau élevés. La répartition est indiquée: une nidification possible, une nidification probable, et une nidification confirmée. On pair-formation in the Sand Martin, Riparia riparia, Journal of Ornithology 126:1-13. Ornithologue – oiseaux terrestres, Service canadien de la faune, Environnement Canada, Sackville (Nouveau-Brunswick). pers. (2008) ont avancé que tous les plans de gestion des ressources hydriques existants pour le lac Ontario ont des effets positifs sur la nidification de l’Hirondelle de rivage, mais ils n’ont considéré comme une menace que les taux d’érosion élevés. Tableau 3. 2011. Proportion des listes de contrôle incluant l’Hirondelle de rivage présentées à Étude des populations d’oiseaux du Québec (ÉPOQ) de 1970 à 2010 (Larivée, 2011). Ottawa. 1989. Nebel, S., A.M. Mills, J.D. De Smet, Ken. Wendt et T.C. Variation régionale dans les proportions de sites naturels et artificiels (créés par l’humain) utilisés par l’Hirondelle de rivage au Canada (Erskine, 1979). Cet habitat a été occupé l’année suivante. On n’a trouvé aucun site de nidification naturel. La plupart des études donnant une estimation du taux de survie des Hirondelles de rivage ne tiennent pas compte des probabilités de dispersion, ces estimations devant donc être interprétées avec précaution. En dépit de cela, le BBS est suffisant pour détecter les tendances des effectifs de l’Hirondelle de rivage dans la plupart des régions de l’Amérique du Nord, car l’espèce est fréquemment signalée et que le degré de variation spatiale est semblable d’une année à l’autre (P. Blancher, comm. Les sites artificiels représentent le principal habitat de nidification en Colombie-Britannique (87 % des mentions), tandis que l’inverse est vrai dans les Maritimes (25 %; tableau 2). The breeding cycle in the Bank Swallow, Wilson Bulletin 67:235-286. Colonization patterns in Sand Martins, Riparia riparia, Bird Study 34:20-25. Le fait d’enlever les carcasses d’Hirondelles de rivage de la route aide à réduire les hécatombes. Récemment, on a adopté une modélisation hiérarchique bayésienne pour analyser les tendances du BBS, ce qui permet une meilleure représentation des profils de changement des populations dans le temps que les approches précédentes (Sauer et Link, 2011; A. Smith, comm. Les lignes tiretées correspondent aux limites supérieures et inférieures des intervalles de crédibilité à 95 %. Gergel et G.H.R. Il ne s’agit pas à proprement parler d’un nichoir, mais plutôt d’un aménagement dont le but est de créer un contexte favorable à l’installation du Martin-pêcheur. Trends in agricultural impact and recovery of wetlands in prairie Canada, Ecological Applications 20:525-538. Ashley, E.P., et J.T. Territorial Forest Ecologist, Department of Environment and Natural Resources des Territoires du Nord-Ouest, Hay River (Territoires du Nord-Ouest). 2011). 2007). Sieber, O. pers.). Les points noirs illustrent les pertes de répartition, soit les carrés où on a signalé l’Hirondelle de rivage entre 1981 et 1985 mais pas entre 2001 et 2005. pers.). Le Comité se réunit au moins une fois par année pour étudier les rapports de situation des espèces candidates. Bedford, B.L. NatureServe. Harrison. ), The Second Michigan Breeding Bird Atlas, Kalamazoo Nature Center, Kalamazoo (Michigan), ÉTATS-UNIS. Bérubé, D. 1993. Ginevan, M.E. A study of the return rate and dispersal of Sand Martins Riparia riparia at a single colony, Bird Study 34:12-19. Les jeunes visitent plusieurs colonies au cours de cette dispersion, probablement afin d’évaluer les sites de reproduction pour les années futures (Mead et Harrison, 1979). pers. Les taux d’occupation des terriers en 2010 et en 2011 étaient de 59,1 et 53,4 %, respectivement. Il y a une tendance significative à la hausse à Last Mountain, en Saskatchewan, à l’automne (+ 41 % annuellement). Si on considère l’effet prévu des changements climatiques sur la côte des Maritimes (Daigle et al. Peters. Historique du COSEPAC Le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) a été créé en 1977, à la suite d’une recommandation faite en 1976 lors de la Conférence fédérale-provinciale sur la faune. Figure 8. KCCA (Kettle Creek Conservation Authority). Un déclin des probabilités d’observation a été observé dans toutes les régions de l’Ontario, mais il était surtout prononcé dans les régions du Sud du Bouclier (− 69 %) et du Nord du Bouclier (− 65 %). Ils entament la migration d’automne sur une plus longue période que les adultes, et une fois la migration entamée, les oiseaux traversent les vallées de rivières de basses­terres où les possibilités d’alimentation sont élevées (Mead et Harrison, 1979). Mandat du COSEPAC Le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) évalue la situation, au niveau national, des espèces, des sous-espèces, des variétés ou d’autres unités désignables qui sont considérées comme étant en péril au Canada. Veuillez sélectionner toutes les cases qui s'appliquent : Loi sur les espèces en péril : évaluations et rapports de situation du COSEPAC, Structure spatiale et variabilité de la population, Sources de mortalité des adultes et dans les nids, et parasitisme, Sommaire des tendances et des fluctuations, Mortalités accidentelles – Projets d’extraction d’agrégats et de lutte contre l’érosion, Statuts et classifications non prévus par la loi, Experts contactés (en ordre alphabétique de noms de famille), Sommaire biographique des rédacteurs du rapport. Le record de longévité pour cette espèce est d’au moins 8 ans et 11 mois (Petersen et Mueller, 1979). Vérifiez les traductions 'hirondelle de rivage' en néerlandais. Dawe, I. McTaggert-Cowan, J.M. Regroupement Québec Oiseaux, Service canadien de la faune d’Environnement Canada, Études d’Oiseaux Canada. Durant la période de nidification, on croit que les domaines vitaux sont relativement petits, car les oiseaux en quête de nourriture semblent utiliser les espaces ouverts à moins de 200 à 500 m de leur colonie (Garrison, 1999; EOC, données inédites). Cependant, certaines zones peuvent ne pas être adéquatement couvertes, ce qui peut donner lieu à une sous-estimation (p. ex. Jones, Neil. Environ une semaine après leur envol, les jeunes forment des grands groupes (c.-à-d. des crèches) près des sites des colonies et perchent sur les fils de téléphone, les fils électriques et les fils de clôtures, les arbres, les racines exposées et les parois des falaises (Garrison, 1999). L’estimation de la population mondiale d’Hirondelles de rivage est de 50 millions d’individus (PIF LPED, 2007). Gestionnaire, Section de la conservation du Nord, Service canadien de la faune, Environnement Canada, Yellowknife (Territoires du Nord-Ouest). De plus, on a recherché toutes les colonies occupées d’Hirondelles de rivage dans le comté de Wellington en demandant aux ornithologues amateurs locaux leurs registres, en vérifiant les sites de nidification historiques, et en cherchant des milieux propices à l’espèce. Watkins, Bill. Size of sand grains as a significant factor affecting the nesting of bank swallows (Riparia riparia), Biologia Bratislava. Ces hirondelles sont les plus petites de l’espèce qui reviennent chaque année en Belgique (12 cm de long pour 16 cm d’envergure). Il y a cependant des biais possibles dans l’échantillonnage de l’Hirondelle de rivage qui pourraient occasionner une sous-représentation ou une surreprésentation à l’échelle régionale. Ornithologue – oiseaux terrestres, Service canadien de la faune, Environnement Canada, Sainte-Foy (Québec). COSEPAC : Espèce désignée « menacée » en mai 2013. La carte ne délimite pas clairement l’aire d’hivernage (décrite dans le texte du rapport comme se trouvant principalement en Amérique du Sud, où on trouve l’espèce le plus souvent à l’est des Andes, dans l’est du Pérou, en Bolivie, au Brésil, au Paraguay et dans le nord de l’Argentine).
Tout Pour Mon Pitbull, Grille Salaire Convention Animation, Chant Pour Leau, Annuler Achat V Buck Fortnite, Top 50 Spotify France, Haricot Pinto Wikipédia, Le Film De Zoé Lecture Piano Tapuscrit, Lettre De Contestation Amende Stationnement,